Princess Khadiga palace in Helwan to be transformed into a cultural center

Cairo Governor Atef Abd El Hamid will sign Sunday a cooperation deal between Cairo and Bibliotheca Alexandria to transform The Palace of Princess Khadiga in Helwan into a cultural center and a religions civilization museum.

A press release issued by Bibliotheca Alexandrina described the palace as an architectural gem that holds great value, adding that the palace has a “distinguished pattern.”

The press release also explained that the cooperation between the governorate and the Bibliothequa will help increase the value of the palace, making this the beginning of a more advanced Cairo that offers more cultural tourism.

Moreover, it pointed out that the Bibliotheca is an esteemed cultural institution with an impressive record of spreading and supporting Egyptian culture worldwide, making it a suitable partner for such a project.

The palace was originally owned by Lady Amina, wife of Khedive Tawfeek, and became known as the property of Tawfeek himself. The land was originally bought for 6000 golden pounds and the palace’s construction cost 150 golden pounds, reported El Gornal.

The palace consists of two main buildings: El-Salamlek, which is the main part of the palace designed for the men and guests and El Haramlek, the part of the palace designed to accommodate women.

Several smaller buildings are incorporated into the palace such as the one for the stables and the kitchen.

Unfortunately, the palace has mostly been destroyed, leaving only a small part of the Salamlek and a bigger part of the Haramlek.

However, the Haramlek part is surrounded by so many schools that you can barely see it from afar, let alone reach it, making the palace barely accessible and mostly deserted.

Source  :  Egypt Independent

Address media violations in accordance with law: Parliamentary Speaker

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The Speaker of Parliament Ali Abdelaal called on the authorities regulating media affairs to address violations committed by journalists and media personnel in accordance to the law and Constitution.

The call was addressing the Supreme Council for Media Regulation, the National Media Authority, and the National Press Authority.

Abdelaal emphasized that the House of Representatives was determined to ensure the freedom of press and “enlightened, responsible media” in Egypt.

His remarks came during the plenary session of the House of Representatives on Sunday, and he stressed the importance of freedom of press as a basic guarantor and enabler of a free democratic society, but pointed out that some violations are being committed by journalists and media professionals.

Edited translation from MENA

 

Source  :  Egypt Independent

Nine extremists killed in Sharqiya, 9 arrested in Cairo

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The Interior Ministry announced on Sunday the killing of nine extremists and the arrest of nine others in Cairo and Sharqiya governorates.

The police launched a crackdown on a farm in al-Saleheya al-Gadida area in Sharqiya that was used as a shelter by extremists, according to National Security Agency’s investigations. Extremists received training on the use of weapons and explosives on the farm in preparation for attacks in North Sinai, according to the Interior Ministry.

The killed and arrested extremists were involved in planting explosives and targeting security checkpoints in North Sinai, as well as planning a series of attacks against vital installations, according to the ministry’s statement.

The police forces launched a crackdown on the farm on Sunday at dawn, after which the suspects responded with gunfire. Nine suspects were killed, and seven automatic rifles and ammunition were seized from the farm.

Other nine were arrested in a crackdown on a hideout for extremists in Cairo, said the statement.

An automatic rifle, ammunition, TNT and hexamine explosives, and other materials and tools used in the manufacture of explosives were found in their possession, as well as a laptop that contained photographs of the arrested elements during their training on the use of weapons in desert areas, according to the statement.

According to investigations, four out of the nine arrested elements were involved in an attack on a checkpoint in July on the 26 of July Axis, where a recruit and a civilian were injured.

According to the statement, one of the arrested has links to the Muslim Brotherhood and received training on the manufacturing of bombs in a neighboring country. The statement added that the arrested received financial assistance from the Muslim Brotherhood.

The Ministry of the Interior said in its statement that the preemptive strike of this cell and the arrest of its members aborted schemes that targeted important and vital installations.

Edited translation from Al-Masry Al-Youm

 

Source  :  Egypt Independent

Cameroun: La Chambre de commerce, d’industrie, des mines et de l’artisanat (CCIMA), adopte plus de 4 milliards FCFA pour son budget 2018, dans un contexte miné par une concurrence féroce des produits locaux

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Des membres de cette institution déplorent l’offensive des enseignes étrangères qui représentent une entrave à leurs activités.

Au terme de son assemblée plénière tenue le 21 décembre 2017 à Douala, la CCIMA a adopté plus de 4 milliards FCFA pour son budget 2018. Les membres de cette institution sous la conduite de leur président, Christophe Eken, entendent améliorer la qualité des produits exportés pour promouvoir le développement des chaînes de valeurs. Pour Christphe Eken, le plan d’action pour 2018 porte entre autres sur la promotion des produits locaux, l’encadrement des jeunes, le partage de l’information.

Tablant sur un contexte économique national qui sera marqué par la mise en oeuvre du programme avec le Fonds monétaire international (FMI), la CCIMA compte par ailleurs renforcer ses partenariats économiques au bénéfice de ses membres. Mais certains d’entre eux se plaignent la concurrence déloyale desormais imposée par l’offensive des enseignes occidentales au point de détricoter le tissu économique national.

Se playant de la repression mondiale imposée par des groupes internationaux, Alice Maguedjo, representante des commerçants, déplore la disparition du commerce en détail dans les prochaines années, si les commerçants camerounais ne sont pas recyclés. Pour cette dernière, si les pouvoirs publics ne prennent pas des décisions courageuses pour réguler le commerce dans notre pays, l’emergence en 2035 tant souhaitée sera vaine. Toutefois, la CCIMA se satisfait de l’élaboration par l’Etat du Plan directeur d’industrialisation (PDI), qui permettra au pays de moderniser son économie et d’accélerer sa croissance.

 

Source  :  Cameroon-Info

Cameroun: Consacré à 60% au fonctionnement, le budget 2018 de la mairie de Douala 5 est de 2,798 milliards FCFA

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Gustave Ebanda, Maire de Douala V Archives
Il connait une baisse de 862 millions FCFA qui s’explique par la volonté de l’exécutif communal d’élaborer un budget réaliste et réalisable.

Le projet du budget 2018 de la commune de Douala 5, voté le 22 décembre 2017 est équilibré en recettes et en dépenses à 2,798 milliards FCFA. Soit une baisse substancielle de 862.252.196 FCFA par rapport au budget précédent. Cette baisse de l’enveloppe budgétaire, apprend-on, s’explique d’une part par la volonté de l’exécutif municipal, d’élaborer un budget réaliste et réalisable, répondant également aux orientations de la tutelle locale. Notamment en ce qui concerne le niveau de recouvrement des recettes de 1,838 milliards FCFA et 1,752 milliards FCFA respectivement pour les comptes comptes adminstratifs de 2015 et 2016. Et un niveau d’exécution des recettes au 18 décembre 2017 de 2,157 milliards FCFA.

Se projetant sur ce niveau réel du recouvrement effectif des recettes, une prévision supplémentaire de 476.913.279 FCFA a été faite en vertu des nouveaux pôles de recettes exploitables pour parenir à ce budget prévisionnel de 2018, a-t-on appris. Il consacre 60% au fonctionnement soit 1,678 milliards FCFA. Un taux jugé excessif par le representant du préfet du Wouri, alors que 40% dudit budget soit 1,119 milliards FCFA sont consacrés à l’investissement.

Il sera axé, d’après Gustave Ebanda, maire de ladite commune, à la construction de des blocs de deux salles de classe dans les écoles publiques de Bonangang, Lendi et Makepè ancien décharge. Mais aussi l’achèvement de la construction de la maternité et équipement du Centre médical d’arrondisssement (CMA) de Bonamoussadi. L’achèvement des travaux de l’hôtel de ville dont l’inauguration est prévue en mars 2018, l’entretien routier, l’hygiène et salubrité publique et environnement, ainsi que les infrastructures telles la construction des boutiques à usage commercial, ne sont pas en reste.

 

Cameroon-Info

Caneroun – Crise anglophone – Célestin Djamen (SDF): «Le président de la République doit se déplacer quand il y a une crise»

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Célestin Djamen Archives
Le conseiller municipal de la commune d’arrondissement de Douala 1er accuse Paul Biya de faire « du chantage, de la menace avec l’argent du contribuable camerounais ».

Le conseiller municipal Social democratic front (SDF) de la commune urbaine de Douala 1er exige l’ouverture d’un dialogue avec les contestataires des régions anglophones. Sur l’antenne d’Equinoxe télévision cette mi-journée, il a déclaré que les autorités camerounaises doivent parlementer avec leurs adversaires et pas seulement avec leurs amis.  Il a rappelé que le SDF a demandé il y a plus d’un an à Biya de convoquer un dialogue parce qu’il s’agit d’une question vitale. Il exige du président de la République du Cameroun, Paul Biya, qu’il se rende dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest en crise.  « Le président de la République qui a reçu du peuple un « mandat » que je mets toujours entre guillemets doit aller, il ne doit pas déléguer son pouvoir. Il y a des actions qui comptent dans l’élection d’un président de la République. Il y a des éléments fondamentaux qu’il doit respecter. Il doit se déplacer quand il y a une crise. Il s’agit d’une crise sociopolitique si ce n’est une crise politique proprement dite. Il n’y a pas le temps du président. Il y a le temps du peuple. Le peuple c’est le mandant. Le président c’est le mandataire. Monsieur Biya est locataire d’Etoudi. Il est obligé d’écouter ceux qui l’ont envoyé à Etoudi. Il n’a pas trente ans à prendre. Il avait le devoir non pas de déléguer, mais d’aller écouter les populations qui étaient en furie ».

Célestin Djamen dit qu’il croit toujours au dialogue bien que la situation se soit dégradée et que Paul Biya « ne daigne pas se rendre dans les régions anglophones ». Il accuse le président camerounais de faire « du chantage, de la menace avec l’argent du contribuable camerounais ». Pour lui, ma question centrale,  celle pour laquelle il se bat, c’est le fédéralisme qui pour lui, « ne signifie pas sécession mais garantit une unité nationale que monsieur Biya est en train de torpiller ». Le président de la République est accusé d’attendre qu’il y ait un pourrissement total pour apparaître comme un Messie avec une solution miracle.

 

Cameroon-Info